Un petit moment que nous n ‘avions pas raconté la suite de cette histoire. De manière à laisser à Pascal le temps de “finir le job”. Mais entretemps, il s’était livré à des fouilles archéologiques et il nous parle avec émotion de ses découvertes.
Quand j'ai eu la chance d'aller rencontrer pour la première fois notre héros Mac McGrath,
dans sa petite maison d'Imperial, je n'ai pas résisté à la curiosité d'aller voir le garage dans lequel le Speedster 55 avait passe les premières années de sa vie.
Mac, fut un peu surpris par ma demande , mais c'est très gentiment qu'il ouvrira le portail et me laissera tout regarder. Un bout d'un moment il me dit de loin:
"Regarde un peu sous l'établi, il doit y avoir un carton avec quelques pièces". Tout est très sale, le climat sec et le vent du désert dépose beaucoup de poussière jaune sable.
Je me baisse, tend la main et touche une boite en carton. Je tire et la la boite, vieille de 50 ans, se désintègre entre mes doigts.
Quelques pièces apparaissent, les anciens cabochons des clignotants, quelques ampoules, un bouton de démarreur, un rétroviseur et à ma grande surprise
le fameux badge SCCI, le Sport Cars Club International, là, dans mes mains, 50 ans après. Incroyable !
Le rétroviseur est celui qui fut pose en 55 par le garage Porsche. C ‘était à l ‘époque un accessoire de consessionnaire. C'est un modèle anglais semblable à un Lucas mais de forme légèrement différente, introuvable.
Le badge quand a lui sera la clé de voute de cette restauration, l'élément indispensable qui la valorisera vraiment. Quelle chance de le retrouver après tant d'années. Je l‘emporte précieusement
Pascal
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