356 Porsche Club France

Modélisme Flat 4

Nos Flat 4 ont bien entendu fait l ‘objet de très nombreuses reproductions à toutes les échelles. Pas toujours très bien réalisées d’ ailleurs. Il faut croire que les formes rondes de nos 356 ne sont pas si évidentes que cela à respecter parfaitement au 1/43ème.

Mais il y a certainement parmi vous des artistes qui aiment à partir d’un modèle mal ficelé pour lui rendre un minimum de réalisme. C’est le cas en particulier de Pascal Auger qui, pas vraiment convaincu par sa 904 Jouef – Scalextrix au 1/40ème s’efforce de lui rendre une apparence conforme à l ‘original, sans rien lui faire perdre de ses performances. Après tout c’est une 904. Les travaux sont en cours. C ‘est vrai qu’il y avait à faire !

A gauche l ‘original et à droite la carrosserie en cours de travaux.

Si vous aussi avez des doigts d’or et des 356  refaites “comme il faut” nous les publierons avec plaisir.

Courage Pascal, on attend la suite.

Ecurie des Ecureuils

Nous avions évoqué l ‘histoire des débuts de Porsche en France et des premières années de Sonauto dans un article intitulé “La bande à Veuillet” . Voir ici.

Passionné de sport automobile et conscient du potentiel des 356 , Auguste Veuillet comprit très tôt l ‘intérêt qu’il avait à fédérer les pilotes amateurs, afin d’ assurer la promotion de sa toute jeune marque, dans les épreuves régionales sur route comme sur circuits. C’est ainsi que fut créée en 1954, l’ Ecurie des Ecureuils, dont le siège situé Rue des Italiens dans un Club chic, guère éloigné du magasin de la Rue de la Boétie, permettait à une vingtaine d’amis et clients de se retrouver régulièrement.

Et on comptait parmi eux, des personnalités qui ne tardèrent pas à faire parler d’elles, comme les Storez, père et fils, Gilbert Sabine (le père de Thierry), Olivier Gendebien, Gonzague Olivier, Gilberte Thirion. D ‘une certaine manière l’ Ecurie des Ecureuils, même si elle ne prétendait pas à l ‘exclusivité d’une marque, puisqu’ Olivier Gendebien devint rapidement pilote officiel Ferrari, n’en était sans doute pas moins, le tout premier des clubs Porsche.

(documents AC des Lions)

Trophée des Grands Chefs

Historic Car Organisation  l ‘ Association de notre ami et membre du Club, Alain Bodard s’ est engagé dans une démarche originale en proposant chaque année d’ associer de grands chefs étoilés à des amateurs de gastronomie qui ont en commun une grande passion pour les Porsche classiques et un goût prononcé pour les moments de convivialité et de gourmandise.

 Voir article sur le Trophée 2011.

Pour le 6^ème Trophée des Grands Chefs qui aura lieu les 16-17-18 septembre 2012, c’est une belle balade franco-suisse autour du Léman qu‘il nous propose. Les membres du club y sont cordialement invités.

Voir les détails et télécharger la fiche d'engagement sur le site de HCO

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Rétromobile 2012

Les lampions de la fête désormais express, car concentrée sur 6 jours, viennent à peine de s’éteindre et l’ heure est au premier bilan. Une nouveauté cette année, le “petit” hall club, pièces et automobilia, désormais séparé du hall principal, afin de laisser de la place aux présentations toujours plus pantagruéliques des “maisons de vente”. Tout au moins à celle d’ Artcurial qui a récupéré de haute lutte sa place en majesté, Bonhams ayant choisi l ‘exil, mais sans prendre le risque néanmoins de proposer une vente en dehors de la semaine des antiquaires…Concurrence oblige.

Sur le plan des beautés présentées, reconnaissons que tant les collections Mullin que les stands des grands marchands étrangers, rivalisaient dans le rare et le beau, parfois “plus beau qu’ en vrai” d’ailleurs. La qualité des restaurations est aujourd’ hui à la mesure des sommes engagées pour l ‘acquisition et l ‘entretien des grandes stars, c’est à dire stratosphérique. Comme le marché de ces voitures, totalement mondialisé, même s’il n’est pas toujours d’une transparence limpide.

Les marchands français, à quelques exceptions près, ont été un peu les grands absents de cette fête rituelle. Pas suffisamment de matériel dans un marché florissant ? Peur de se frotter aux grandes pointures ? Plus de belles pièces ? Mais les préparateurs et les restaurateurs ont pris leur place. Ils viennent à la rencontre d’un marché toujours plus demandeur de versions sportives ou course et de restaurations de qualité concours. Tant pis ou dommage pour les autos moins nobles qui changent de main plus difficilement..Un marché à 2 ou 3 vitesses donc, mais rien qui ne permette aux prix de baisser dans un proche avenir, même s’il faut se souvenir toujours que les arbres ne montent pas jusqu’ au ciel.

Pour ce qui concerne nos 356 et plus généralement les Porsche Classic, aucune comparaison avec Essen bien sûr et une offre finalement  réduite hors catalogue d’ enchères  (un Coupé C de bonne facture chez Atelier des Coteaux, un Speedster et un 550 chez Meiners ). Comme d’ ailleurs en général pour toutes les autos à prix abordable qui semblent avoir déserté les allées de Rétromobile. Pas de quoi attirer les plus jeunes ce qui n’est certainement pas une bonne nouvelle. Le mieux est parfois l ‘ennemi du bien.

Pour ce qui concerne,^par contre les ventes aux enchères, la frénésie continue pour les modèles concours ou éligibles aux grandes manifestations avec des prix qui n’en finissent plus de monter. Réservé aux amateurs d’adrénaline.

Voir les résultats ici: Résultats Artcurial               Résultats Bonhams

Par contre cette très belle Carrera 1600 GS au 1/43ème ou ce magnifique speedster en kit, valaient le coup d’oeil.

Restez au chaud

Le Rallye de Monte-Carlo Historique qui s’est déroulé cette année dans des conditions dantesques a mis à mal de nombreuses carrosseries. Pas d’incidents par contre pour les équipages, sinon peut-être un petit coup de froid pour l ‘un ou l ‘autre. Mais un vrai fana s’il est immobilisé trouve toujours de quoi s’occuper.

Thanks Cedric